Atlas de l'environnement du Morbihan

Le bruit

Le bruit est un ensemble de sons produits par un phénomène vibratoire se propageant principalement dans l’air.
Dans sa dimension physique, le bruit peut être caractérisé par un grand nombre de paramètres, en particulier :
  • son niveau sonore ou intensité acoustique, que l’on mesure sur une échelle logarithmique en décibels (dB) ;
  • sa hauteur ou fréquence exprimée en Hertz (Hz) ;
  • sa durée ;
  • son caractère stable ou impulsionnel, continu ou intermittent ;
  • etc.
La principale composante du bruit relève de la physiologie et de la perception : il est alors défi ni comme “toute sensation auditive désagréable ou gênante, tout phénomène acoustique produisant cette sensation, tout son ayant un caractère aléatoire qui n’a pas de composante définie” (définition AFNOR).
La prise en compte de cette dimension perceptive conduit à corriger le système de mesure en décibels par une pondération en fonction de la sensibilité de l’appareil auditif : le décibel pondéré, dB(A), rend compte du fait que l’oreille humaine n’est pas sensible de façon identique à toutes les plages de fréquence.
A titre d’ordre de grandeur, les niveaux sonores dans l’environnement extérieur varient de 25 dB(A) pour les nuits très calmes à la campagne à 100 dB(A) pour un scooter à échappement libre au ralenti (Cf. Figure 1).

Selon plusieurs enquêtes d’opinion, la Bretagne est une des régions de France où la population se disant gênée par le bruit (30 à 40%) est la moins importante. Cependant, le bruit reste considéré comme l’une des premières atteintes à la qualité de vie (Enquête de l’Observatoire interrégional de politique de 2001 – Source : IFEN).
Echelle du bruit et de sa perception

Figure 1 : Echelle du bruit et de sa perception

Source : d'après ADEME

Contexte réglementaire

S’inspirant des recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la directive européenne 2002/49/CE du 25 juin 2002 relative à l’évaluation et à la gestion du bruit dans l’environnement impose un cadre commun aux états membres pour la lutte contre les nuisances sonores des infrastructures de transports terrestres, des aéroports et des industries.

Deux des principaux objectifs sont l’établissement de cartes d’exposition aux bruits (révisées tous les 5 ans et accessibles au public) et, sur la base de ces cartes, l’adoption de Plans de Prévention du Bruit dans l’Environnement (PPBE) ainsi que la préservation des zones calmes.

Les Etats membres devaient ainsi publier avant le 30 juin 2007 des cartes de bruit pour les agglomérations de plus de 250 000 habitants ainsi que les grands axes routiers (plus de 6 millions de véhicules par
an), ferroviaires (plus de 60 000 passages de trains par an) et les principaux aéroports (50 000 mouvements par an).

Les agglomérations de plus de 100 000 habitants devront quant à elles être cartographiées en 2013, ainsi que les infrastructures de transports terrestres recevant plus de 3 millions de véhicules par an et les infrastructures ferroviaires recevant plus de 30 000 passages de trains par an.

La multiplicité des sources et donc des acteurs qui interviennent en matière de bruit se traduit par une dispersion des dispositifs réglementaires, notamment entre les Codes de la construction et de l’habitation, celui de l’urbanisme et celui de l’environnement.

Les règles de construction des bâtiments en France

Le Code de la construction et de l’habitation fixe les règles générales de la construction des bâtiments et notamment l’isolement acoustique minimal à respecter contre les bruits extérieurs (atténuation de 30 dB).

Pour les bâtiments d’habitation (arrêté du 30 juin 1999), la réglementation s’attache à l’isolement acoustique entre appartements et à la réduction du bruit d’équipement (chauffage, ventilation…). Le décret n° 95-20 du 9 janvier 1995 impose des normes similaires aux bâtiments autres que d’habitation (établissements d’enseignement, de santé, de soins, d’action sociale, de loisirs et de sport, hôtels…).

Seuls les bâtiments construits à proximité d’une infrastructure de transports terrestres ou aériens particulièrement bruyante sont soumis à des isolations acoustiques plus importantes, ces dispositions devant être insérées à titre informatif dans le Plan Local d’Urbanisme (PLU, Cf. chapitre : “Les outils de planification urbaine”).

Les dispositions relatives à l'urbanisme

Le Code de l’urbanisme réglemente plus particulièrement l’implantation d’infrastru- ctures de transports dans un milieu bâti ainsi que l’implantation des bâtiments aux abords des voies de circulation et des lieux bruyants.

Les articles R 571-32 et suivants du code de l’environnement imposent ainsi le recensement et le classement sonore en 5 catégories des infrastructures des transports terrestres qui comportent un trafic journalier moyen annuel de plus de 5 000 véhicules, 50 trains ou en milieu urbain 100 autobus ou trains. Ces éléments doivent être intégrés dans les documents annexes des PLU à titre informatif.
Les articles L 571-11 du code de l’environnement et R 147-1 et R 147-2 du Code de l’urbanisme ont institué les Plans d’Exposition au Bruit (PEB) qui visent à prévenir l’exposition de nouvelles populations au bruit généré par les aéronefs.

Le PEB est un document cartographique d’urbanisme annexé au PLU de la commune qui définit des zones voisines des aérodromes à l’intérieur desquelles la construction de locaux à usage d’habitation est interdite ou doit faire l’objet d’aides financières pour une isolation renforcée.

L'encadrement des activités de production

Le régime des Installations Classées pour la Protection de l’Environnement (ICPE) soumet ces exploitations à des normes d’émissions sonores, fonctions de la période de la journée et du niveau initial (notion d’émergence sonore).

Les prescriptions générales appliquées aux autres activités non classées pour la protection de l’environnement sont le respect des valeurs d’émergence fixées dans le Code de la Santé Publique (bruits de voisinage).
Plus généralement, le Code de l’environnement a intégré la loi 92-1444 du 31 décembre 1992 relative à la lutte contre le bruit.

Ses objectifs sont de prévenir, limiter ou supprimer les bruits et vibrations qui présenteraient un danger pour la santé des personnes et porteraient atteinte à l’environnement.

Les activités humaines, sources de bruit dans le Morbihan

Les transports à l'origine de nuisances sonores majeures

Habitations à proximité de la N165 à Vanne

Habitations à proximité de la N165 à Vannes

Des enquêtes de l’INSEE montrent de façon récurrente que le bruit est considéré par la population française comme la première nuisance au domicile dont les transports seraient la source principale pour 80% d’entre eux.

Il y aurait ainsi en France quelques 350 000 logements (2 206 pour la Bretagne), proches de voies de transport terrestre, exposés à un niveau préoccupant d’émissions sonores.

Dans le Morbihan, il existe des arrêtés préfectoraux du classement sonore imposé par les articles L 571-10 et R 571-32 et suivants du code de l’environnement pour les routes nationales et départementales (Arrêté du 1er décembre 2003), (Cf. Carte 1) et communales de Vannes (Arrêté du 2 novembre 2004), Caudan, Larmor-Plage, Lorient, Ploërmel, Pontivy, Queven, Saint-Avé et Séné (Arrêté du 19 juin 2009).

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Carte 1

Carte 1 : Classement sonore des routes nationales et départementales
du Morbihan en 2003

En application de la directive européenne n°2002/49/CE sur l’évaluation et la gestion du bruit dans l’environnement, des cartes stratégiques de bruit devaient être établies pour les grandes infrastructures routières dont le trafic est supérieur à 6 millions de véhicules par an avant le 30 juin 2007 et à 3millions de véhicules par an avant le 30 juin 2012.

Dans le Morbihan, cela concernait un linéaire d’environ 250 km de routes nationales et départementales (arrêté préfectoral du 13 mars 2009). Chaque carte de bruit comporte des représentations graphiques des zones exposées au bruit à l’aide de courbes isophones, des secteurs dits affectés par le bruit et des zones de dépassement des valeurs limites, toutes relatives uniquement aux voies concernées par les cartes de bruit (pour exemple, Cf. Carte 2).

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Carte 2

Carte 2 : Secteurs affectés par le dépassement de la valeur Lden=68 dB(A) dans l'agglomération vannetaise en 2009

Les niveaux de bruit sont exprimés par 2 indicateurs : Lden (Level-dayevening- night) pour la moyenne sur les 3 périodes journée-soir-nuit et Ln (Level night) pour la nuit.

De ces représentations graphiques sont déduites des estimations des populations, des établissements d’enseignement et de santé et des surfaces exposées au bruit dans ces zones.
Globalement, plus de 4 700 personnes dans le Morbihan seraient susceptibles d’être exposées, en raison des infrastructures routières, à un dépassement de la valeur limite de bruit prescrite par la réglementation européenne en pondération des différentes périodes de la journée (68 dB(A)).

Cet effectif tombe à une estimation de plus de 2 700 personnes exposées au dépassement du seuil (62 dB(A)) durant la nuit. Aucun établissement d’enseignement ou de santé n’a été identifié dans ces zones exposées au dépassement des valeurs limites de bruit.
Aucun classement sonore des infrastructures de transport terrestre ne concerne le domaine ferroviaire du Morbihan à ce jour, le trafic étant inférieur à 50 trains par jour sur l’ensemble du réseau.

Cependant, des études menées dans le cadre de la mise à jour du classement sonore des infrastructures ont montré que le tronçon de 19 km entre Vannes et Auray (ligne 470 000) semble avoir dépassé ce seuil et serait donc susceptible d’être classé en catégorie 4 par révision de l’arrêté préfectoral du 1er décembre 2003 (communication de Réseau Ferré de France, juillet 2009).
Concernant les transports aériens, le nombre de mouvements d’appareils commerciaux a plus que doublé entre 1993 et 2006 dans le Morbihan (Cf. Figure 2).

Trois infrastructures font l’objet d’un Plan d’Exposition au Bruit dans le département : l’aéroport de Lorient-Bretagne sud, les aérodromes de Vannes-Meucon et de Quiberon.

Le Morbihan figure parmi les quelques départements qui n’ont pas encore mis en place d’Observatoire du bruit des transports terrestres. Défini par un décret et deux circulaires, il vise à recenser les points noirs du bruit des transports routier et ferroviaire nationaux et de préparer un plan de résorption de ces points noirs. Il doit également devenir le comité de suivi des cartes de bruit et des PPBE.

Pour en savoir plus :

Evolution du nombre de mouvements d'appareils commerciaux enregistrés dans le Morbihan entre 1993 et 2006

Figure 2 : Evolution du nombre de mouvements d'appareils commerciaux
enregistrés dans le Morbihan entre 1993 et 2006

Le bruit généré par les activités de production

39% des bretons qui ont une activité professionnelle déclarent travailler dans un milieu bruyant (Campillo & al., 2007).
Le régime des ICPE en matière d’émissions sonores concerne 6 721 exploitations agricoles ou industrielles du Morbihan (Cf. chapitres : “L’agriculture”, “L’industrie” et “Les carrières et les mines”).

Malgré l’intérêt croissant pour les énergies renouvelables, la population s’interroge sur les impacts environnementaux et sanitaires relatifs à l’implantation d’éoliennes.

En particulier, de nombreux riverains d´installations futures mettent en avant l‘argument du bruit généré par les éoliennes pour refuser l´installation de nouveaux parcs. Si les machines de première génération étaient effectivement bruyantes, elles sont aujourd’hui beaucoup plus silencieuses grâce aux progrès techniques.
Port de commerce de Lorient

Port de commerce de Lorient

Il n’en reste pas moins que la perspective de montée en puissance des éoliennes et de densification du réseau de production pose question en matière de gestion du bruit dans l’environnement. L’Agence Française de Sécurité Sanitaire de l’Environnement et du Travail (AFSSET, 2008) recommande ainsi de ne pas définir une distance d’installation unique entre les parcs éoliens et les habitations, mais plutôt de modéliser au cas par cas l’impact acoustique du projet.

L'urbanisation comme facteur de pollution sonore

Le bruit est considéré comme la première nuisance au domicile par les ménages français résidant dans des villes de plus de 50 000 habitants : 54% d’entre eux se déclarent gênés par le bruit lorsqu’ils sont chez eux, 28% le sont souvent et 26% de temps en temps (INSEE, 2002).

En Bretagne, 1,6% des personnes déclarent être en permanence gênées par le bruit à leur domicile et 6,1% l’être souvent (Campillo & al., 2007).
L’application de la directive européenne 2002/49/CE du 25 juin 2002 relative à l’évaluation et à la gestion du bruit dans l’environnement concernera en 2013 une seule agglomération de plus de 100 000 habitants dans le Morbihan : celle de Lorient (d’après le décret n°2006-361 du 24 mars 2006 relatif à l’établissement des cartes de bruit et des plans de prévention du bruit dans l’environnement et modifiant le code de l’urbanisme).
Les zones urbaines cumulent en effet les pressions sonores des infrastructures de transports, mais aussi de certaines activités de production et le bruit de voisinage.

Les loisirs : des activités non neutres du point de vue du bruit

Les activités récréatives dans leur ensemble sont également des sources de bruit.

L’exemple du nautisme est particulièrement adapté au contexte départemental : le Golfe du Morbihan figure parmi les bassins de navigation les plus fréquentés en France (le passage le plus critique étant celui de Port Blanc, avec des flux pouvant atteindre 237 bateaux par heure en pleine saison).

Les niveaux sonores générés sont, d’une manière générale, bien inférieurs au maximum autorisé par la directive 2002/49/CE. En revanche, ils seraient, dans la plupart des cas, trop élevés pour des parcs naturels ou des zones protégées (CSNPSN, 2007).

Les impacts des pollutions sonores sur les êtres vivants

Les conséquences du bruit sur la santé humaine




Les effets objectifs

Le bruit est nocif pour l’audition à des niveaux très inférieurs au seuil de la douleur. Un bruit impulsionnel pourra être à l’origine d’un traumatisme sonore aigu. Plus insidieux, le traumatisme sonore chronique affecte progressivement l’oreille interne. La sensation de sifflements aigus, de bourdonnements dans les oreilles en dehors de tout stimulus externe est un signe fréquemment rapporté dans ces cas : ce sont les acouphènes.

Les effets biologiques extra-auditifs sont nombreux même s’ils sont difficiles à attribuer de façon indéniable et univoque au bruit.
En cas d’exposition régulière au bruit, des troubles du sommeil peuvent apparaître et entraîner à long terme une fatigue chronique et des troubles de la vigilance, augmentant les risques d’accidents de la circulation ou du travail.
Une élévation des concentrations nocturnes de certaines hormones et de la tension artérielle est aussi observée avec des conséquences possibles sur le système cardio-vasculaire ou les défenses immunitaires. Les personnes à l’équilibre psychique fragile sont très sensibles à l’environnement sonore qui jouerait un rôle dans l’évolution et le risque d’aggravation de ces maladies (AFSSET, 2008).

Les effets subjectifs

La gêne – sensation de désagrément, de déplaisir provoquée par un facteur de l’environnement – est le principal effet subjectif du bruit. Le lien entre gêne et intensité du bruit est variable, en fonction de nombreux facteurs individuels, contextuels et culturels.

En dehors de la gêne, trois autres effets subjectifs du bruit sont habituellement décrits : sur les attitudes et le comportement social (agressivité et troubles du comportement, diminution de la sensibilité et de l’intérêt à l’égard d’autrui), sur les performances intellectuelles et l’interférence avec la communication.
Les populations socialement défavorisées sont plus exposées au bruit car elles occupent généralement les logements les moins chers et les moins bien insonorisés à la périphérie de la ville et près des grandes infrastructures de transports.

Elles cumulent en outre les expositions au bruit à d’autres types de nuisances. Ce cumul génère une mauvaise qualité de vie qui se répercute sur leur état de santé (AFSSET, 2008).

Les pollutions sonores : une source de dérangement croissante de la faune sauvage

La réglementation sur le bruit se préoccupe quasi-exclusivement de la santé humaine. Les autres espèces ne sont donc prises en compte qu’en creux, en considérant l’homme comme une espèce parapluie. Comme le rapporte le Centre d’Etudes Techniques de l’Equipement de l’est (2007), les connaissances les plus développées en matière de dérangement d’espèces par les pollutions sonores concernent les oiseaux.
Les fonctions de la communication acoustique chez ces espèces sont très nombreuses, les principales étant la défense du territoire et l’attraction des femelles.
Via le bruit, l’homme exerce une pression sélective, à la fois à l’intérieur d’une espèce et entre les espèces sur le critère de l’adaptabilité du chant : qu’un oiseau doive chanter plus fort pour se faire entendre augmente son métabolisme, engendre par exemple un surcroît de fatigue et lui demande de consacrer plus de temps à la recherche de nourriture.
D’autre part, qu’un oiseau doive modifier son rythme de vie pour chanter en période calme et non à l’heure où son espèce à l’habitude de chanter constitue un stress important. Cette pression est de nature à diminuer la biodiversité.
En ce qui concerne les infrastructures péri-urbaines, il est possible de mettre en évidence des effets sur la densité et la structure sociale des populations de faune sauvage.

Enfin, la protection de la faune marine contre le bruit des activités humaines est un enjeu majeur, notamment en raison de sa grande sensibilité aux pollutions sonores et de la densité des trafics nautiques au large du Morbihan. Les grands mammifères sont les premiers touchés, de par le rôle incontournable de leur sonar.

Synthèse et enjeux

Le bruit est une notion complexe qui recouvre différentes dimensions (physique, psychologique…) et peut avoir des natures et des sources extrêmement variées. Il constitue, en outre, une nuisance mal supportée par la population en raison de ses conséquences sur la santé (fatigue, stress, agressivité…).

De nombreux dispositifs règlementaires existent donc, proposant des normes d’émissions sonores en fonction des activités concernées.
Mais le bruit a également des impacts sur l’environnement, notamment par le dérangement de la faune.

Dans le Morbihan, les sources de bruit sont multiples et les pressions sur l’environnement réelles. Elles sont principalement liées aux activités de transport. Pour prévenir les impacts des pollutions sonores sur les êtres vivants, différentes actions peuvent être menées, de la source à la zone réceptrice. Elles sont présentées dans le chapitre : “La lutte contre le bruit dans l’environnement”.

Sources et liens

  • ADEME – CLER, 2002. Des éoliennes dans votre environnement ? 6 fiches pour mieux comprendre les enjeux. 6 p.
  • AFSSET, 2008. Impacts sanitaires du bruit généré par les éoliennes. Rapport et avis. 115 p.
  • Boy D., 2001. Baromètre de l’environnement. Observatoire interrégional du politique (OIP)/Institut de l’environnement français (IFEN).
  • Campillo B., Pennognon L. et Tréhony A., 2007. Baromètre Santé environnement 2007 - Résultats en Bretagne. ORS Bretagne - ORSA - ORS Régional - DRASS Bretagne - FNORS – INPES. 28 p.
  • CETE de l’est, 2007. Bruit urbain et faune sauvage. Synthèse bibliographique. 22 p.
  • Comité opérationnel Bruit du Grenelle de l’environnement, 2008. Pour une approche globale – Rapport. 89 p.
  • Conseil supérieur de la navigation de plaisance et des sports nautiques, 2007. Nautisme et Environnement – Avis et Rapport - Impact de la pratique du nautisme. 78 p.
  • INSEE, 2002. Première n°868. Mesurer la qualité de vie
    dans les grandes agglomérations. 4 p.

www.bruit.fr

www.developpement-durable.gouv.fr

www2.ademe.fr

www.morbihan.pref.gouv.fr

www.odem.fr

www.ifen.fr